Quand un scénario se montre aussi pauvre, c'est qu'il n'est qu'un prétexte. Prétexte à quoi ? En l'occurrence, à un exercice de style tellement gratuit dans sa volonté d’en mettre plein la vue que cela confine avec le grotesque. Des plans vertigineux sur… une femme qui marche dans le métro, façon peut-être de faire oublier que le réalisateur ne sait pas manier l’art de l’ellipse. De toute façon, le timing n’est pas son truc : son très long-métrage n’en finit pas, sa scène de coucherie entre filles n’a déjà plus rien d’anticonformiste, et ses combattants déclarent k.o. après des luttes presque drôles tant elles sont interminables.
Au final, une sorte d’OSS 117 malgré lui, avec Charlize Theron en défilé permanent pour maintenir l’attention du spectateur ennuyé : un nouveau film d’action ni fait, ni à faire.
Quand un scénario se montre aussi pauvre, c'est qu'il n'est qu'un prétexte. Prétexte à quoi ? En l'occurrence, à un exercice de style tellement gratuit dans sa volonté d’en mettre plein la vue que cela confine avec le grotesque. Des plans vertigineux sur… une femme qui marche dans le métro, façon peut-être de faire oublier que le réalisateur ne sait pas manier l’art de l’ellipse. De toute façon, le timing n’est pas son truc : son très long-métrage n’en finit pas, sa scène de coucherie entre filles n’a déjà plus rien d’anticonformiste, et ses combattants déclarent k.o. après des luttes presque drôles tant elles sont interminables.
Au final, une sorte d’OSS 117 malgré lui, avec Charlize Theron en défilé permanent pour maintenir l’attention du spectateur ennuyé : un nouveau film d’action ni fait, ni à faire.