C’est l&
rsquo;histoire de quatre femmes, au caractère bien trempé, qui apprennent à s’unir dans l’adversité, sur fond de bons sentiments et d’humeur joyeuse. Bowling lorgne du côté de la comédie sociale, en s’inspirant d’un fait divers : la résistance de la ville de Carhaix face à la menace de fermeture de sa maternité.
Le film ose toutefois une intrigue marchant sur deux pattes : l’épopée de l’équipe féminine de bowling dont nos quatre héroïnes sont membres, et leur lutte pour sauver la maternité de l’hôpital de Carhaix, où elles sont employées. La narration en devient un peu confuse, la faute &
agrave; des allers et retours nerveux entre ces deux scénarii. A cause aussi d’une réalisation trop démonstrative et qui peine à donner de l’intensité au récit, le film risque la facilité et l’ennui. Le cliché n’est pas loin, la matière à réflexion aux abonnés absents, notamment à propos du thème de la lutte sociale, qui adopte un parti pris bien dans l’air du temps. Ainsi, à l’abject directeur d’hôpital, décidé à sacrifier des emplois sur l’autel de la rentabilité avec le soutien des pouvoirs publics, s’opposent les courageux et laborieux habitants de Carhaix, qui n’hésitent pas à faire le coup de poing et braver l’autorité, une fois de plus toute désignée comme grand méchant loup. Il en faut bien un…
Cette comédie franchouillarde amuse et émeut, grâce à un humour simple, un peu lourdaud certes, et à sa capacité à faire naître de la tendresse pour ses personnages principaux, sympathiques dans des rôles qui leur correspondent très bien.
Au final, une comédie sociale divertissante, avec une histoire sympathique, une bonne humeur inébranlable, et un propos très politiquement correct.
C’est l& rsquo;histoire de quatre femmes, au caractère bien trempé, qui apprennent à s’unir dans l’adversité, sur fond de bons sentiments et d’humeur joyeuse. Bowling lorgne du côté de la comédie sociale, en s’inspirant d’un fait divers : la résistance de la ville de Carhaix face à la menace de fermeture de sa maternité.
Le film ose toutefois une intrigue marchant sur deux pattes : l’épopée de l’équipe féminine de bowling dont nos quatre héroïnes sont membres, et leur lutte pour sauver la maternité de l’hôpital de Carhaix, où elles sont employées. La narration en devient un peu confuse, la faute & agrave; des allers et retours nerveux entre ces deux scénarii. A cause aussi d’une réalisation trop démonstrative et qui peine à donner de l’intensité au récit, le film risque la facilité et l’ennui. Le cliché n’est pas loin, la matière à réflexion aux abonnés absents, notamment à propos du thème de la lutte sociale, qui adopte un parti pris bien dans l’air du temps. Ainsi, à l’abject directeur d’hôpital, décidé à sacrifier des emplois sur l’autel de la rentabilité avec le soutien des pouvoirs publics, s’opposent les courageux et laborieux habitants de Carhaix, qui n’hésitent pas à faire le coup de poing et braver l’autorité, une fois de plus toute désignée comme grand méchant loup. Il en faut bien un…
Cette comédie franchouillarde amuse et émeut, grâce à un humour simple, un peu lourdaud certes, et à sa capacité à faire naître de la tendresse pour ses personnages principaux, sympathiques dans des rôles qui leur correspondent très bien.
Au final, une comédie sociale divertissante, avec une histoire sympathique, une bonne humeur inébranlable, et un propos très politiquement correct.