Il y a, comme partout, au moins deux courants qui s'opposent à une culture cinématographique : les laxistes, qui ne voient dans le cinéma qu'un innocent divertissement et ne souhaitent pas se poser plus de questions, et les rigoristes, pour qui le cinéma est dangereux, condamnable et ne mérite donc presque aucune considération.
Habituellement nos propos tentent d'aiguillonner les laxistes. Une fois n'est pas coutume, cet article s'adresse plutôt aux rigoristes et répond à leurs différentes attaques contre le cinéma (toutes réellement entendues dans des discussions ou des conférences).
On aurait tort de penser que les rigoristes arrivent à leurs conclusions après un raisonnement nourri par les objections ci-dessous. En réalité ils sont presque toujours d'abord contre le cinéma (par éducation, peur, etc.) et appellent dans un deuxième temps ces arguments en renfort.
Cela expliquera que certains arguments soient si faibles, mais nous nous devons néanmoins d'y répondre, parce qu'ils nous ont déjà été adressés.
Réponses aux objections contre le cinéma
Il y a, comme partout, au moins deux courants qui s'opposent à une culture cinématographique : les laxistes, qui ne voient dans le cinéma qu'un innocent divertissement et ne souhaitent pas se poser plus de questions, et les rigoristes, pour qui le cinéma est dangereux, condamnable et ne mérite donc presque aucune considération.
Habituellement nos propos tentent d'aiguillonner les laxistes. Une fois n'est pas coutume, cet article s'adresse plutôt aux rigoristes et répond à leurs différentes attaques contre le cinéma (toutes réellement entendues dans des discussions ou des conférences).
On aurait tort de penser que les rigoristes arrivent à leurs conclusions après un raisonnement nourri par les objections ci-dessous. En réalité ils sont presque toujours d'abord contre le cinéma (par éducation, peur, etc.) et appellent dans un deuxième temps ces arguments en renfort.
Cela expliquera que certains arguments soient si faibles, mais nous nous devons néanmoins d'y répondre, parce qu'ils nous ont déjà été adressés.